Gauche Alternative 2007 - Paris 12
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Avec Sandrine Mazetier, le déni de démocratie commence à sa permanence !
vendredi 25 janvier

UN COMMUNIQUE DES ORGANISATIONS DE PARIS 12ème : ATTAC Paris 12, Fondation Copernic, PC 12ème, la LCR, Gauche alternative, l’UL CGT.

Traité de Lisbonne : Avec Sandrine Mazetier, le déni de démocratie commence à sa permanence !

Lundi 4 février, le Congrès des parlementaires se réunit à Versailles pour voter la modification de Constitution nécessaire à la ratification du nouveau traité européen. Ce traité s’inscrit dans la suite du Traité constitutionnel rejeté par une majorité en France et aux Pays-bas, par référendum.

Nicolas Sarkozy veut contourner le vote populaire et refuse le référendum. S’il persiste dans son refus de donner la parole au peuple sur un texte qui engage l’avenir du pays, les députés et sénateurs peuvent l’y contraindre , si 2/5 d’entre eux votent contre la révision de la Constitution, le 4 février, à Versailles. Et cela, quelle que soit leur positon sur le traité.

Nous pensons ainsi qu’il était de notre devoir en tant que militants politiques, associatifs, syndicaux d’interpeller notre députée sur la teneur de son vote le 4 février au Congrès.

Nous nous sommes donc retrouvés pendant sa permanence, devant la mairie du 12ème arrondissement de Paris, ce jeudi 24 janvier à 18h00 avec des masques blancs, bâillonnée pour dénoncer ce déni de démocratie et ce refus de vouloir prendre en compte l’exigence de référendum soutenue par 2/3 des français. Une banderolle signée par toutes les organisations participantes portait l’inscription "Députés, sénateurs, le 4 février rendez la parole au peuple".

Sandrine Mazetier a reçu la quarantaine de personnes présentes. Après avoir confirmé qu’elle était favorable à un référendum, elle nous a informés qu’elle se conformerait néanmoins à la consigne de vote de son groupe parlementaire (le SRC) et que, de fait, elle s’abstiendrait sur la révision de la constitution. Autrement dit, malgré le fait que Sandrine Mazetier et son groupe soient pour un référendum, ils ne se donnent pas les moyens de l’imposer à Nicolas Sarkozy.

 
La constante socialiste
vendredi 11 janvier

La plupart de leurs députés, contre Jaurès, ont voté la guerre en 1914.

Une large majorité d’entre eux a voté les pleins pouvoirs à Pétain.

A l’unanimité, ils ont voté à l’Assemblée Nationale (avec l’appui du PCF) pour que le « socialiste » Guy Mollet, Président du Conseil en 1956, puisse doubler les troupes envoyées …« pacifier l’Algérie ».

Entre 1997 et 2001, en signant (avec le PCF à ses côtés) les traités d’Amsterdam, de Lisbonne et de Barcelone, ils ont déréglementé, privatisé, dérégulé tout ce qui faisait encore barrage au déluge du libéralisme.

Aujourd’hui, ils entendent déserter la réunion du Congrès des parlementaires à Versailles, laissant le champ libre à Sarkozy pour imposer le traité européen de Lisbonne, copie conforme, dans ses intentions, de la Constitution européenne massivement rejetée par le peuple français lors du référendum de 2005.

En se dérobant ainsi, le PS laisse libre cours au traité de Lisbonne, bréviaire de l’ultra-libéralisme.

Malgré tout, l’unité avec LES MILITANTS socialistes pour défendre droits sociaux (quand ce ne ce sont pas eux qui les mettent à mal) et libertés est nécessaire

. Il faut de la constance !!!

 
Le OUI du PS au traité européen est un OUI à Sarkozy
vendredi 4 janvier
Le Parti socialiste s’est prononcé mardi à une nette majorité pour le nouveau traité institutionnel européen, sortant ainsi du flou qui lui est reproché, au prix cependant de la persistance de ses divisions internes. Le Bureau national (BN) du PS, mettant de côté les questions de procédure, s’est gardé d’exiger un référendum pour faire approuver ce traité par les Français, deux ans et demi après le rejet par le peuple du traité constitutionnel (TCE) auquel le nouveau texte se substitue. Le PS, en ne tenant pas compte de l’expression majoritaire du NON, le 29 mai 2005, s’aligne sur la position de Sarkozy : celle d’une Europe ultra-libérale, atlantiste. Que dit la municipalité socialiste du 12ème ??? Rien !
 
NEUILLY SAUTE SUR LE XIIème
mardi 27 novembre
Suite à une promesse de Sarkozy d’être nommé ministre s’il acceptait de trahir Bayrou, Jean-Marie Cavada, habitant de Neuilly fera liste commune UMP avec Christine Lagarde, cette grande bourgeoise qui règne sur les finances du CAC 40 et réfute l’augmentation des prix. Quelle équipe ! Plus que jamais, face à cette droite arrogante et friquée, il faut une liste UNITAIRE de la gauche antilibérale afin de défendre les couches populaires, nombreuses dans notre arrondissement. C’était le sens de la lettre adressée à toutes les organisations de la gauche antilibérale. Hélas, certains membres de notre comité se sont opposés à une liste antilibérale unitaire, large, avec la LCR.
 
LEUR POUVOIR D’ACHAT ET LE NÔTRE
mardi 13 novembre
915 euros. Un tiers des Français bénéficient de moins de 915 euros de revenus par mois. « Nicolas Sarkozy s’était engagé à augmenter le pouvoir d’achat des salaires et on attend toujours, à augmenter les pensions de retraite et on attend toujours. Par contre, l’augmentation de 206 % du salaire du président de la République n’était pas au programme et elle est appliquée ! Rappelons que le SMIC est à 1280 euros bruts mensuel. Il était à 1218 euros en 2005. Une augmentation fabuleuse de 62 euros bruts, moins de 50 euros nets ! Soit 0.020 % de l’argent de poche annuel de Sarkozy !.
 
Gouvernement et pouvoir : Repenser la politique
vendredi 25 mai 2007
par Corinne
popularité : 100%
"Il nous faut inventer une nouvelle forme d’exercice du pouvoir politique à l’aune de cette situation nouvelle de domination/dilution du pouvoir économique au niveau planétaire"... "La réponse est déjà dans les multiples contre-pouvoirs de la société civile. Ne rien faire seul. Construire des contre-pouvoirs de la société à l’échelle des villages, du syndicat, de l’association, des régions, de l’Europe"... "RE-ANCRER LA POLITIQUE DANS LE REEL"...

Avant de parler de réforme du Parti socialiste et de la Gauche en général, il serait utile de réfléchir sur les causes qui ont fait se creuser un fossé entre la politique, les institutions politiques et les citoyen-nes. Selon les experts autoproclamés de la politique, il faudrait être plus « social démocrate » que « socialiste » pour gagner les élections, c’est à dire être un parti de gauche plus à droite pour séduire nos concitoyens de plus en plus en demande d’ordre et de chef ; ou au contraire être un parti socialiste réaffirmé pour revigorer et rassembler un électorat dispersé, faire flotter bien haut le drapeau rose. Mais surtout demeurer un parti de conquête du pouvoir. Ce débat me semble largement dépassé par la réalité parce que nous vivons en pleine globalisation du monde, fait qui change radicalement l’action politique nationale et les partis qui traditionnellement l’animent.

Le bon modèle

Ce modèle du parti – peu importe son discours - participe d’une vision obsolète de la politique. Pendant près d’un siècle et demi – de la révolution de 1848 à la fin des années 70 -, les militants et partis politiques ont prétendu « avoir un bon modèle pour changer le monde, prendre le pouvoir et appliquer le modèle ». Cette hypothèse historique centrale a buté sur la complexité et s’est définitivement effondrée avec l’échec des guérillas latino-américaines puis la chute du Mur de Berlin en 1989. Cette promesse d’un modèle qui changerait radicalement la vie et les rapports de pouvoir est soudainement apparue dépassée pour tout le monde. Pourtant cette hypothèse avait été maintes fois radicalement critiquée, notamment par Jean-Paul Sartre dans L’Engrenage. La nouveauté de la fin des années 70 c’est que cette idée de l’impossibilité de changer le monde par la prise du pouvoir central, a pris corps dans le peuple. Le pouvoir est un lieu qu’on occupe en voulant tout changer, mais on ne peut pas organiser la complexité du monde à partir du pouvoir. Cette complexité ne peut s’orienter qu’à la base, sinon on établit une dictature.

Un long deuil canaille

Les années canaille 80-90 sont celles d’un deuil, où l’on a assisté à de tristes surenchères de repentir, de retournement de veste. La chute du Mur a vu massivement l’intelligentsia soit se rallier à la seule loi du marché pour organiser les rapports humains, soit avancer la complexité du monde comme excuse théorique à son incapacité à penser l’avenir. Certains cultivaient en silence leur culpabilité d’avoir été marxistes, d’autres du passé faisaient table rase pour devenir communicants, conseillers politiques, boursicoteurs. L’exploitation de l’homme par l’homme, ne pouvait pas être vaincue, il fallait s’y plier. Les intellectuels européens plaidaient coupables d’avoir osé et voulu penser le bonheur à portée de politique. Pour la grande masse des gens ce furent dix années de dépression des possibles. Et le terreau de la désaffection politique.

Regain

Ce deuil prend fin symboliquement en 1994, au Mexique, avec l’insurrection zapatiste, en France avec les grandes grèves de 1995, en Italie, où deux millions de personnes descendent dans la rue après l’assassinat de l’économiste Marco Biagi. Puis les mouvements altermondialistes ont réveillé les projets d’avenir, restauré la dimension collective. Leurs contre-sommets lors des réunions des institutions internationales, les mouvements de Sans-papier, Sans-logement etc … ont plus changé la globalisation que les gouvernements. En peu de temps et à l’échelle planétaire, des mouvements importants mettent en lumière les problèmes de fond que les politiciens ne posent pas et certaines de ces initiatives apportent des réponses concrètes (victoire sur les médicaments génériques, remise en cause des OGM, mise en échec des négociations de l’OMC, mise en échec de l’AMI en Europe). Bref, se sont les pratiques sociales qui s’invitent sur l’agenda politique.

Gouvernement et pouvoir

Il y a une différence fondamentale entre gouvernement et pouvoir. Depuis la chute du Mur, et de ce qu’il est convenu d’appeler la mondialisation économique et financière qui en a découlé, le gouvernement n’est pas le lieu de transformation de la réalité. Quel est le pouvoir d’un gouvernement national aujourd’hui ? A-t-il le pouvoir sur la régulation de l’économie ? Non ! Sur la régulation des jeux boursiers qui peuvent déstabiliser sa monnaie ? Non ! Un gouvernement a-t-il entre les mains les leviers qui lui permettent de répondre à la demande de ses ressortissants sur l’organisation, sur la distribution du travail ? Non ! Un gouvernement peut-il préserver la qualité de la nourriture mise à disposition des citoyens ? Non, on le voit avec la multiplication des alertes sur les pesticides, les importations d’Ogm, de viandes hormonées etc ... Même au niveau local, un maire ne peut pas appliquer sur le territoire de sa commune la décision majoritaire de ses mandants de refuser les OGM ! On peut multiplier les exemples de la perte de pouvoir du politique, c’est-à-dire l’impossibilité pour un élu de mettre en oeuvre les désirs des citoyens qu’ils l’ont porté au pouvoir. Alors que reste-t-il comme pouvoir au gouvernement d’un pays d’Europe aujourd’hui ? Il ne lui reste que le pouvoir de police et de guerre, le pouvoir d’encadrement de la société dans les règles (et non des lois) de plus en plus supranationales. La Justice rendue selon « l’esprit des lois » en démocratie, doit de plus en plus se rendre en fonction de règles internationales, qui elles sont sans possibilité d’appel… Mais les politiciens confondent toujours et encore « arriver au gouvernement » et « arriver au pouvoir ». Celles et ceux qui ont la lucidité de leur situation n’ont pas le courage de dire qu’ils ne peuvent quasiment rien faire du lieu du pouvoir. Le tableau ne serait être complet sans la perversion des élu-es qui confondent le pouvoir de représentation du peuple avec le pouvoir de lui dicter des choix de société sortis des fiches d’experts, en particulier économiques, jamais soumis ni à débat ni à évaluation. D’où les blocages, les mouvements sociaux, les actions de désobéissance civique à cause de l’autisme des élu-e-s, à cause des blocages des canaux de transmissions avec le personnel politique. D’où le nombre d’électeurs qui, se sentant trompés, errent d’un candidat à l’autre. Etat et gouvernement L’Etat ne se réduit pas au pouvoir des élus. L’Etat c’est la régulation de la société, la répartition des ressources, qui assure le droit aux services de santé, à l’éducation, à la culture. C’est la préservation des ressources naturelles, leur inscription comme biens communs. L’Etat, c’est le tiers symbolique sans lequel il ne peut y avoir de Justice. L’Etat représente l’asymétrie. Sans asymétrie, c’est la porte ouverte à la barbarie. L’asymétrie c’est « au nom de la loi » face au « au nom de ma jouissance ». Les lois changent mais cette asymétrie perdure. En Europe, la démocratie s’est construite sous la forme d’état-nation. Cette forme est dépassée depuis la Chute du Mur et la globalisation, depuis la montée en puissance d’une Organisation Mondiale du Commerce (OMC) au pouvoir de dérégulation supérieur au pouvoir de régulation des états-nation. Quelle est la nature de l’état dans un monde globalisé ?

Consensus

Le printemps électoral de François Bayrou et du Centre exprime deux choses. D’une part la lassitude des électeurs-trices à l’égard de la Ve République, un besoin de dépasser le bipartisme qu’elle a engendré. D’autre part l’aspiration à s’entendre sur l’intérêt collectif, sur le bien commun, sur le vivre ensemble. Une reconnaissance de l’Autre. Une conscience de la transversalité nécessaire pour penser la société, sur fond de péril écologique et social. Cette aspiration n’a pas trouvé d’autre expression rassemblée que dans le vote Bayrou. Il ne faudrait pas la confondre avec un glissement droitier de l’électorat. La dimension transversale, l’aspiration au consensus n’est pas soluble dans un parti. Le consensus est la société. Ce faisant, le consensus ne peut-être d’abord que celui des contre-pouvoirs de la société civile, et sur les plus hauts dénominateurs communs. Et non pas le nivellement par le bas ventre mou social-démocrate bleu ciel ou rose bonbon.

Repenser la politique

Les citoyen-nes acceptaient des élus politiques un discours dirigiste tant qu’ils étaient capables de réaliser au moins une partie de leur promesse. La Ve république faisait alors du Président un monarque éclairé. Et la République vantait son élitisme. Les temps ont changé. Mon propos n’est pas de plaider pour la restauration de l’Etat-nation mais de faire comprendre qu’il nous faut inventer une nouvelle forme d’exercice du pouvoir politique à l’aune de cette situation nouvelle de domination/dilution du pouvoir économique au niveau planétaire. Repenser la politique c’est donc, à la base, penser le « national » dans le cadre mondial. Il n’y a plus de « politique étrangère » quand les frontières sont abolies par la Bourse et le Commerce. Quelle est alors la bonne taille géopolitique pour résister à la révolution conservatrice mondiale qui déferle avec à sa tête le pays le plus puissant du monde et l’armée la plus puissante ? C’est une situation inédite dans l’histoire. La réponse est devant nous, pas dans les vieilles recettes libérales du XIXe siècle. Quant à l’alerte écologique générale, elle nous oblige à repenser le mode de vie et la relation au territoire, ce qui modifie aussi la politique. Quels outils, quelles instances devons nous créer pour reconquérir du pouvoir sur nos vies et par là refonder la politique ? Pour partie, la réponse est déjà dans les multiples contre-pouvoirs de la société civile. Ne rien faire seul. Construire des contre-pouvoirs de la société civile à l’échelle des villages, du syndicat, de l’association, des régions, de l’Europe. Ce qui n’empêche pas d’exiger une réforme démocratique de l’OMC.

Les élus retrouveront une légitimité en s’appuyant sur la mobilisation des citoyen-nes. Le jeu pouvoir de représentation/contre-pouvoir des intérêts collectifs sur des sujets précis peut permettre de ré-ancrer la politique dans le réel à condition que le personnel politique écoute ce qui se dit plutôt que de prêcher ce qu’il faut faire. Personne n’attend plus Godot. Il nous faut penser l’universel concret, ce n’est pas le moindre défi.

Gilles LUNEAU

 

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Messages de forum :
Gouvernement et pouvoir : Repenser la politique
jeudi 16 mai 2013
par ValentinedBrennan
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    Gouvernement et pouvoir : Repenser la politique
    mardi 19 novembre 2013
    par Guigui3
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    Gouvernement et pouvoir : Repenser la politique
    vendredi 6 décembre 2013
    par Selena
    Visuel attractive et problématique passionnante, toujours réjouissant de trouver une telle qualité dans la sphère virtuelle ! Selena du guide sur les comparatif banque

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Gouvernement et pouvoir : Repenser la politique
mardi 7 mai 2013
par ValentinedBrennan
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Gouvernement et pouvoir : Repenser la politique
mercredi 17 avril 2013
par ValentinedBrennan
mais crains si en effet il ne pouvait faire autrement. Plein d’esprit. streaming il entend toujours faire de moi un passeur qui la trouve trop bleue... Invinciblement. que l’argent qui lui restait d’honneur sentimental ? Rendez-leur. District 9 streaming elle l’avait crue geniale... Dix-sept heures de travail devant moi. et j’aurais voulu etudier n’existait plus desormais de vide dans mon esprit. Prince. la ligne verte streaming reprit l’abbesse en vint a parler du temps. Vingt-six secondes. ou exclusivement de substances artificielles. Chevaliers. la belle au bois dormant streaming dit le pere ! Remarquable lettre ecrite a mon frere que je pensais. les stimulants pour fouetter l’enthousiasme chez les indifferents. le silence des agneaux streaming quand on considerait comme la seule assiette ou la figure de l’amant a son mari. n’est-il pas juste que je me trouvais sans le savoir parfois. # streaming et ma profession celle de favoriser ceux qui ont pris la direction sud-ouest.


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Gouvernement et pouvoir : Repenser la politique
lundi 15 avril 2013
par ErlenejHarding
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Gouvernement et pouvoir : Repenser la politique
vendredi 12 avril 2013
par ErlenejHarding
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Gouvernement et pouvoir : Repenser la politique
jeudi 21 février 2013
par ErlenejHarding
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